Une grève préventive et politique donc illégale
Communiqué de Jean-Marie Le Pen:
Une fois de plus, les syndicats de l’archéosocialisme paralysent le pays par une grève préventive et politique.
Personne ne souligne que cette grève, une fois de plus, est illégale. Toute grève engagée contre des décisions politiques est illicite, puisque la grève est un conflit entre des salariés et leur employeur, et que l’employeur n’a aucun pouvoir sur les décisions politiques.
Et il ne s’agit même pas d’une décision politique, mais d’un simple document d’orientation sur les régimes spéciaux de retraite, qui n’a fait l’objet d’aucune discussion puisqu’il a été publié il y a une semaine.
D’autre part, il ne sert à rien de regretter que la loi sur le service minimum ne soit pas encore en application. En réalité cette loi est une publicité mensongère, elle ne servira à rien.
Le fossé que l’on constate entre la promesse du candidat Sarkozy et sa réalisation en la matière ne peut que laisser planer un doute quant à la détermination du président de la République sur la question des régimes spéciaux de retraite. Et cela renforce, a contrario, la détermination des syndicats.
Il fallait d’emblée un signe fort, qui n’est pas venu. L’affaire est donc mal engagée.
Source: http://www.frontnational.com/
Une fois de plus, les syndicats de l’archéosocialisme paralysent le pays par une grève préventive et politique.
Personne ne souligne que cette grève, une fois de plus, est illégale. Toute grève engagée contre des décisions politiques est illicite, puisque la grève est un conflit entre des salariés et leur employeur, et que l’employeur n’a aucun pouvoir sur les décisions politiques.
Et il ne s’agit même pas d’une décision politique, mais d’un simple document d’orientation sur les régimes spéciaux de retraite, qui n’a fait l’objet d’aucune discussion puisqu’il a été publié il y a une semaine.
D’autre part, il ne sert à rien de regretter que la loi sur le service minimum ne soit pas encore en application. En réalité cette loi est une publicité mensongère, elle ne servira à rien.
Le fossé que l’on constate entre la promesse du candidat Sarkozy et sa réalisation en la matière ne peut que laisser planer un doute quant à la détermination du président de la République sur la question des régimes spéciaux de retraite. Et cela renforce, a contrario, la détermination des syndicats.
Il fallait d’emblée un signe fort, qui n’est pas venu. L’affaire est donc mal engagée.
Source: http://www.frontnational.com/
0 Comments:
Enregistrer un commentaire
<< Home