28 août 2007

Lettre ouverte de Jacques Vassieux à Nicolas Sarkozy

Voici la lettre ouverte du Conseiller régional Jacques Vassieux adressée au Président de la République Nicolas Sarkozy:

Lettre ouverte au Président de la République Française.

Monsieur le Président,

Je vous écris à propos de cette sombre histoire pour laquelle vous avez, à juste titre, réagi. Un pervers, récidiviste, un certain Françis EVRARD qui aurait violé un gosse d’à peine 5 ans.

Alors bien sûr, en ce moment, on ne parle que de "plan pédophile" dans les plus hautes sphères de l'Etat et Bernard Debré le député UMP de Paris a même annoncé qu'il allait déposer une proposition de loi sur la castration chimique. "C'est simplement une injection tous les trois mois d'un produit qui empêche la libido", a-t-il expliqué.

Jean Marie LE PEN, lui, rappelle de son côté « qu’il est dérisoire de vouloir légiférer sous le coup de l’émotion, quelques jours après la publication de la dernière loi sur le sujet, et de promettre des lois toujours plus « sévères ».
Et il rappelle que “les Français n’attendent pas de savants discours psychiatriques ou politiciens, mais la mise hors circuit des pervers”.

Or, des pervers du type Evrard il en existe, partout, et même au sein du service « public », c’est à dire de l’Etat !

Certains racontent même leurs « exploits » dans des livres confessions, opportunément publiés une fois la prescription établie pour ce type de crime !

Des noms, Monsieur le Président ? Michel POLAC !

Voilà comment cet individu nous explique ses pulsions à la page 147 de son « journal », je cite :
"Oui, j’ai vécu cela à 14 ans avec I. J’ai défailli comme on disait au XVIIIe siècle, rien qu’en frôlant son ventre nu.
De même avec un autre I. à 28 ans, il avait 18 ans environ, mais ce fut moins foudroyant car je l’avais pris pour un tapin ; et enfin à 40 ans, avec ce curieux gamin un peu bizarre, sauvage, farouche, un rien demeuré, un fils de paysan, orphelin peut-être, qui devait avoir 10, 11 ans, peut-être moins, et qui m’a étrangement provoqué jusqu’à se coucher nu dans ma chambre d’hôtel en me racontant une obscure histoire de relation sexuelle avec un homme de son entourage et je me suis rapproché de lui, et il était nu sur le côté, et j’ai seulement baissé mon pantalon et ai collé mon ventre contre son cul, et j’ai déchargé aussitôt, en une seconde, dans un éblouissement terrible, et il a eu un petit rire surpris comme s’il s’attendait à ce que je le pénètre, il paraissait si expérimenté, si précocement instruit, tout en ignorant ce que cela signifiait, tout en étant incapable de préciser ce qu’il savait ce qu’il voulait."

Edifiant n'est-ce pas ?

Alors, « l'Etat Sarkozy », « deux poids, deux mesures ?

En effet, ce Polac, donneur de leçons à bon marché et aux frais du contribuable, nous avoue avoir commis un acte réprimé par la Loi, et en tous cas moralement inacceptable, sur un enfant de 10 ou 11 ans - peut-être moins - (SIC), et parade toujours à la télévision sur une chaîne publique, c'est à dire une chaîne payée par nos impôts !

Monsieur le Président quand on prétend, opportunément, vouloir débarrasser, notre pays des racailles qui empoisonnent la vie dans certains quartiers on se doit d’être capable, pour le moins, de mettre à l’écart des services étatiques les pourritures de cet acabit.

Parce que s’Il est ahurissant qu’un médecin puisse prescrire du Viagra à un détenu sans rien savoir de ce détenu, il serait tout aussi ahurissant que le chef de l’Etat, sachant aujourd’hui (mais sûrement depuis longtemps en réalité) qu’elle est la nature perverse d’un de ses « employés », le laisse continuer à se vanter de ses exploits, en toute impunité, et s’introduire, si j’ose dire, à travers le petit écran dans les foyers des familles françaises qui méritent mieux que les sales confidences de cet ignoble personnage. La lucarne magique n’a pas besoin de ce triste et dangereux personnage !

Alors, puisqu’après avoir reçu le père du petit Enis, abusé par le pédophile Francis Evrard, vous avez évoqué la castration chimique en annonçant l'ouverture d'un hôpital fermé pour les personnes coupables d'agressions sexuelles, il serait temps, après avoir lu cette lettre d’annoncer le limogeage définitif de ce tout aussi pédophile de Michel Polac. Sa place si elle n’est pas, hélas, en prison, pour cause de prescription, est à coup sûr et pour le moins, dans votre fameux prochain hôpital psychiatrique fermé.

Sûrement pas sur une chaîne publique de la Télévision Française !

En attendant que vous preniez la décision de salubrité publique qui s'impose à cet individu, je vous prie de croire, Monsieur le Président, en l’expression de ma haute considération.

Jacques VASSIEUX
Conseiller régional de Savoie
Groupe FN

Source: http://jacques.vassieux.free.fr/