" Ce n'est pas du cinéma, c'est la guerre "
Les émeutiers des quartiers " chauds " de cette vaste zone désormais interdite qui se trouvent tout autour de la capitale ( car, nous ne faisons pas des illusions, les racailles - paroles du président Sarkozy- ne sont pas uniquement dans le Val d'Oise ) non content d'utiliser tous les moyens dont ils peuvent disposer pour incendier des véhicules et des bâtiments ont désormais passés un cap puisque ce sont des armes à feu qui ont fait leur apparition cette nuit à Villiers-le-Bel.
Et il y a encore des gens pour " soutenir " les " djeunes " qui, sous prétexte de vengeance ( pour un accident ? ) ont mis le feu à six bâtiments dont la bibliothèque Louis Jouvet à une soixantaine de voitures et ouvert le feu sur des policiers ! C'est pas affirmé clairement, bien entendu, mais lorsque Arnaud Montebourg se dépêche de critiquer " un désengagement de l'État pour les banlieues " il apparait alors dans ces propos que les pauvres " djeunes " sont véritablement à l'abandon. Or, on sait bien que des centaines de millions d'euros sont venus renflouer les caisses des divers associations " sociales "... Ce qui est une véritable guerre ethnique en attente de propagation aura été certainement précédé depuis de nombreuses années par les paroles de haines " chantées " par les innombrables groupes de rappeurs qui, avec leurs micros utilisés comme des missiles, ont injectés la haine du blanc en continu sur les ondes des radios comme Skyrock et compagnie qui sont quelque part responsables de cette situation. Je ne vais pas rappeler les paroles des " chansons " des NTM, 113, Sniper et leurs confrères, il suffit de noter les jolies mots prononcés ces derniers jours par les émeutiers ( paroles reprises ce jour par la presse ) soit pour parler des policiers ou pour se donner du courage " ethnique " :
"Schtroumpf", "Attraper un flic", "porc , "La guerre, c'est ça mon pote. C'est faire tourner en rond l'ennemi", "fuck the cops", "Niké tous vos mères les keufs parté tous vous faire baisé"
On a compris où ils veulent en venir...
Yann Redekker
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