05 décembre 2007

Les « souchiens », rebuts de la société française

Lu sur le site du FN alsacien:

Dans la rubrique des « chiens écrasés », nous avons aujourd’hui les « souchiens écrasés ». Le « souchien » étant par définition, et en langage courant, le blanc, le Français de souche. Alors pourquoi les souchiens écrasés ? Parce qu’aujourd’hui, en France, certaines entreprises ont institué de nouveaux critères d’embauche, à savoir l’origine ethnique des candidats.

C’est le cas de l’Oréal, qui dit à qui veut l’entendre qu’ils pratiquent la discrimination positive et qu’ils l’assument. Voici une de leurs déclarations relevée dans les médias : « Lorsque nous rencontrons un candidat qui a un prénom d’origine étrangère, il a plus de chance d’être recruté que celui qui porte un prénom français de souche ». A croire que ce dernier n’est bon que pour vider son porte-monnaie en faveur de l’Oréal…

Le « souchien » devient alors un terme péjoratif, donné aux citoyens de seconde zone, à savoir les français de souche.

Les critères d’embauche n’étaient déjà pas assez sévères ? Manifestement pas pour l’Oréal qui a rajouté ce détail qui, si tous les géants industriels français s’y mettaient également, provoquerait un raz-de-marée dans les domaines de l’emploi, de l’économie et probablement du social.

Pour le moins pourrait-on espérer que le président de la Région Alsace, Adrien Zeller, saurait épargner l’Alsace de ce type de comportement à la limite du légal. Mais soyons réalistes, avec sa politique de la ville et de développement des territoires, nous nous rendons bien compte, au fil des différents rapports votés par l’UMPS chaque mois lors des Commissions Permanentes, que priorité est donnée aux zones urbaines sensibles, à savoir là où sont concentrées les communautés dites minoritaires.

Nos élus, nos gouvernants ont tenté, depuis des années, de caresser les populations d’origines étrangères dans le sens du poil en leur accordant toutes sortes d’aides, d’avantages, de priorités auxquels les « souchiens » ne pourront jamais prétendre. Et pour quel résultat ? On l’a encore vu à Villiers-le-Bel au mois de novembre.

L’idée n’est pas de supprimer tous les avantages mis en place, mais seulement d’être cohérents et justes. Les Français ont autant, voire plus, droit que les autres de prétendre à des avantages tels qu’un recrutement en bonne et due forme avec une décision finale basée uniquement sur les compétences du candidat, et non sur l’origine de son prénom ou la couleur de sa peau.

Ce type de critère devrait tomber sous le coup de la loi, mais malheureusement, le racisme anti-blanc, pourtant très répandu, n’est toujours pas reconnu et n’est pas près de l’être, car trop gênant…



Source: http://www.fn-alsace.org/