19 août 2006

Les africains enfin « expulsés » du squat de Cachan

Cela va faire plus de trois ans que des africains (certains ayant des papiers français, d’autres non) squattaient illégalement (et sous le regard complice des autorités) le campus universitaire de Cachan. Trois ans de calvaire pour la population riveraine mais aussi trois ans d’impunité (depuis le 16 avril 2004 les squatters étaient censés quitter les lieux).

Jeudi matin, les autorités se sont enfin décidées à réagir en faisant évacuer les lieux grâce au concours des forces de l’ordre. Sans surprise, de nombreux squatters africains se montrés haineux et insultants devant l’arrivée des force de l’ordre. Ces squatters africains bénéficiaient, et il faut le souligner, de la collaboration de tout le gratin de l’extrême gauche locale.

Bien qu’expulsés du squat, les autorités ont quand même prises la décision de reloger à l’hôtel de nombreuses familles de squatters africains, et tout cela avec l’argent du contribuable français. A l’heure où la France baigne dans le marasme économique, les français sauront apprécier ce geste…

Cela étant, il convient de mesurer cette « joie », car il s’agit en fait de demis-expulsions. De nombreuses familles africaines qui vivaient dans ce squat sont clandestines (ce n’est pas moi qui le dis, je ne fais que relayer ici des informations qui ont été données hier par des militants d’extrême gauche présents sur les lieux…) et celles-ci sont hélas, toujours pas expulsées du territoire national.
Je regrette sincèrement que l’expulsion du squat de Cachan ne s’est accompagnée d’aucune reconduite à la frontière, alors qu’il y avait là pourtant matière à procéder à de nombreuses expulsions.

Espérons maintenant que justice sera faite et que le maximum de ces squatters africains clandestins puissent être expulsés le plus rapidement possible dans leurs pays d’origine comme cela est prévu par les lois actuelles.