16 novembre 2007

La France polluée par l’extrême gauche



Grèves dans les transports en commun, universités bloquées…l’extrême gauche est présente partout pour polluer le climat.

Bien que ne pesant plus rien du tout sur le plan électoral, la peste rouge est toujours là et son application dans les actuels conflits sociaux est là pour nous le prouver.

Si l’on a souvent mis en avant les liens unissant le PCF à la CGT, il convient également d’en faire de même avec la LCR et Sud Rail ainsi que tous les autres groupuscules autonomes.

Le conflit des cheminots est très intéressant à analyser dans la mesure où l’on peut observer une très forte radicalité des grévistes. Conscients de ne plus rien peser sur le plan électoral, l’extrême gauche essaye de rattraper le coup en radicalisant le troupeau des cheminots grévistes, et ça marche ! Contrairement à ce que l’on pourrait être tenté de croire, les leaders syndicaux ne dirigent plus rien du tout, la base décide dorénavant d’agir de la manière qu’elle souhaite et cela sans se soucier des consignes des états-majors.

En mai dernier, j’avais fais le pari qu’une élection de Sarkozy pourrait exciter au maximum les gauchistes et les syndicalistes, pour l’instant je ne me suis pas trompé. Même si au final je pense que Nicolas Sarkozy pliera devant les revendications des gauchistes, il n’en demeure pas moins que l’on pourrait assister dans les mois qui viennent à une multiplication des grèves radicales. J’entends pas « grève radicale » une grève décidée uniquement par la base syndicaliste, qui ne fait des concessions sur rien du tout et qui peut même le cas échant, se mettre à tout casser sur son passage (ce fut le cas hier à la gare de Gap).

Bien sûr, ces grèves radicales ne sont pas neutres politiquement parlant puisque les trotskistes ont totalement noyauté ces mouvements et dans le plupart des cas les dirigent.

Au même titre que le conflit des cheminots, les blocages qui ont lieu actuellement dans certaines universités sont organisés par l’extrême gauche. Comme cela est actuellement le cas à Montpellier, à Nanterre ou bien encore à Rennes, la plupart des « étudiants » qui organisent des blocages ne sont en réalité pas de vrais étudiants mais simplement des crasseux appartenant à l’extrême gauche. Le terme de « crasseux » pourrait paraître pour certains péjoratif mais pourtant celui-ci est bien réaliste. J’ai toujours constaté (et je pense pas être le seul à avoir remarqué cela) que la plupart des militants gauchistes négligent très fréquemment leur hygiène. Cheveux longs et sales, vêtements sentant la sueur, odeur d’alcool, de cigarette et même quelque fois de cannabis, le militant gauchiste possède un certain don pour faire « sentir » sa présence. D’ailleurs, à chaque fois qu’il y a eu des évacuations de bloqueurs, cela s’est toujours accompagné par la suite de mesures de désinfection (cela a été le cas à Rennes où les agents d’entretien du campus ont dû utiliser les grands moyens pour que les lieux occupés par les gauchistes redeviennent propres).

Donc, dans tous les sens du terme, on peut dire que la France est polluée par l’extrême gauche. Si le gouvernement avait un minimum de courage politique, il devrait dissoudre toutes les structures gauchistes qui contaminent notre vie quotidienne.