24 décembre 2006

Le Pen : l’ennemi des extrémistes afro-antillais

Dans la toute dernière édition du journal Le Parisien, les lecteurs ont eu droit à une interview du communautariste noir Patrick Lozès. Comme à son habitude, Lozès a joué à plein pot son rôle victimaire en essayant de faire croire que la communauté noire installée en France était victime de « racisme », de « discrimination » etc…

Hormis le plat réchauffé du discours misérabiliste, Lozès (qui je tiens à le rappeler est membre de l’UDF) s’est exprimé sur les élections de 2007. Ainsi, Lozès a fait savoir qu’il contacterait tous les candidats à l’élection présidentielle pour leur faire des propositions (discriminations positives et tout le tralala habituel) mais, il a tenu a précisé qu’il y a un seul candidat qu’il ne contacterait pas : Jean-Marie Le Pen !

Lozès et son organisation extrémiste et communautariste le Cran vont ainsi contacter tous les candidats : Sarkozy, Bayrou, Royal, Besançenot, Laguiller, Villiers…sauf Le Pen. Cela veut tout dire… Outre la volonté de ne pas dialoguer avec un candidat qui pèse plus de 5 millions de voix, Lozès fait preuve d’un sectarisme honteux. On remarquera quand même que Lozès veut dialoguer avec Villiers, Villiers qui est pourtant censé officiellement lutter contre le communautarisme…les masques commencent à tomber…

Il est vrai que Jean-Marie Le Pen n’est pas très apprécié des adeptes du communautarisme. Après avoir été victime de l’ostracisme du CRIF, voilà que Le Pen est mal vu par le CRAN.
Pour moi, cela ne fait que renforcer Jean-Marie Le Pen est c’est tant mieux, je n’aurai pas apprécié ce dialogue entre les communautaristes (CRAN, CRIF etc…) et Le Pen, qui lui œuvre depuis plus de 50 ans de vie politique pour la grande réconciliation nationale.

Enfin, avec cette affaire du CRAN, on voit bien que les communautaristes noirs ne se trouvent ni chez Dieudonné ni chez les panafricanistes de la Tribu Ka. Le danger aujourd’hui pour la République ce sont les communautaristes du CRAN et non les sketchs de Dieudonné.