Les bronzés font du ski : 38 gendarmes pour les interpeller

CHÂTEL ( NOVOpress) - Huit adolescents de Pierrefitte-sur-Seine (Seine-Saint-Denis), encadrés par des «éducateurs» s’en sont violemment pris aux skieurs, au centre de vacance qui les hébergeait, et aux gendarmes venus les interpeller alors qu’ils séjournaient à Châtel, pour une semaine d’initiation au ski.
Les huit sauvages, âgés de 15 à 17 ans s’en sont tout d’abord pris à un touriste hollandais qui avait malencontreusement fait tomber le snowboard de l’un d’eux, puis ils ont frappé un jeune homme qui s ‘interposait, à coups de poing, de bâtons et de chaussures de ski. De retour dans leur centre de vacances le directeur, alerté, leur signifie leur renvoi immédiat dans leurs pénates ce qui déclenche une nouvelle furie : extincteurs vidés, bris de vitre, de mobilier, attaque d’un cuisinier, blessé au visage. Le directeur, et les éducateurs, submergés par le flot de violence ont fait appel aux gendarmes (au nombre de 8) qui ont eux-mêmes été caillassés, insultés, qui ont essuyé des jets de bouteilles, de skis, un gendarme a même été blessé et les vitres d’un fourgon cassées. Après le repli des gendarmes une nouvelle escouade, cette fois-ci de 38 gendarmes !, est envoyée pour mettre un terme à cette sinistre histoire.
Quand les maires socialistes et communistes qui arrosent les «jeunes» de leur municipalité de bons vacances et de sorties gratuites comprendront-ils qu’ils ne font que déplacer le problème ?
Quand les centres de vacances refuseront-ils, en voyant leur clientèle habituelle fuir devant le flot de violence déversé par ces hordes de sauvages, de les accueillir au risque de se voir poursuivi par la HALDE et compagnie ?
Quand les Français se regrouperont-ils pour donner une bonne leçon à ces racailles histoire de leur apprendre la vie ?
Quand un juge les condamnera t-il enfin à de la prison ferme, à régler la facture liée aux dégâts, à indémniser les victimes ?
Quand les parents de ces primitifs se verront-ils mis devant leur indéniable responsabilité ?
Ce jour-là, peut-être, nous pourrons de nouveau skier, et nager en paix.

Source: http://fr.novopress.info/