La discrimination chez L’Oréal
Article de Fabrice Robert (Bloc Identitaire):
Dans un entretien accordé au journal Le Monde (12 juillet 2007), Jean-Paul Agon, président de L’Oréal avait déclaré : « L'Oréal fait de la discrimination positive et l'assume (…) aujourd’hui, lorsque nous rencontrons un candidat qui a un prénom d’origine étrangère, il a plus de chance d’être recruté que celui qui porte un prénom français de souche. »
J’avais alors adressé un courrier à Jean-Paul Agon pour lui signifier que cette déclaration constituait, selon moi, une violation évidente des lois contre le racisme et la discrimination tout en lui rappelant que nous étions en France, territoire habité par un peuple appelé Français, parmi lesquels un nombre encore important n’est pas disposé à être traité en citoyen de deuxième zone.
Dans le même temps, deux autres lettres ouvertes étaient envoyées à Mme Liliane Bettancourt, principale actionnaire de l'Oréal ainsi qu’à certains cadres de cette entreprise. Car s’il est facile d’applaudir à une politique de la diversité, encore faut-il accepter de laisser sa place le jour où - à compétence égale -, on vous préfère une personne portant un prénom d’origine étrangère…
Mais que fait la Halde ? Cet organisme d’habitude si prompt à réagir lorsqu’il s’agit d’une discrimination à l’égard de personnes issues de l’immigration extra-européenne s’est montré mystérieusement très silencieux sur cette affaire. Ce n’est pourtant pas faute de les avoir prévenus au cas où la déclaration de Jean-Paul Agon leur aurait échappée. En effet, dans un courrier adressé à Louis Schweitzer, je demandais ce que son administration comptait faire face à un président d’une société, qui, dans le cadre de ses attributions, avoue pratiquer une discrimination à l’embauche à l’encontre de toute personne française dite de souche. L’absence de réaction, à ce jour, semble signifier que la Halde pratique donc une véritable discrimination dans sa lutte contre les discriminations. Pour cet organisme, le racisme anti-blanc n’existe pas.
Au final, cette lutte contre les discriminations apparaît comme un véritable racisme déguisé. Aujourd’hui, le message est clair. Quand on s’appelle Mohamed, on a plus de chance d’être embauché chez L’Oréal ou de voir une plainte prise en compte par la Halde.
Comme nous l’avions annoncé à Jean-Paul Agon, les Identitaires ont décidé de lancer une grande campagne d’information sur la politique de discrimination à l’embauche pratiquée chez L’Oréal. Nous allons notamment agir à destination des étudiants en commerce, étant entendu que tout Français de souche qui sera refusé par l’Oréal après l’envoi d’un cv ou un entretien d’embauche, pourra désormais légitimement s’interroger sur les motifs de ce refus.
Mais d’autres actions sont bien évidemment prévues. Nous comptons utiliser tous les moyens à notre disposition pour faire entendre la voix des Français de souche et sensibiliser l’opinion sur cette odieuse forme de discrimination qui les frappe aujourd’hui de manière insidieuse.
Fabrice ROBERT
PS : Une interview exclusive – à paraître sur Novopress – permet déjà de connaître la position de Jean-Claude Legrand, le Directeur mondial de la Diversité et ancien Directeur du Recrutement chez L’Oréal. Très prudent, celui-ci préfère parler de « discrimination positive spontanée » tout en précisant « Nous ce qu'on veut, c'est donner sa chance à Mouloud ». Mais derrière l’usage maîtrisé de la langue de bois se profile une politique de l’embauche assez particulière…
Source: http://www.les-identitaires.com/
Dans un entretien accordé au journal Le Monde (12 juillet 2007), Jean-Paul Agon, président de L’Oréal avait déclaré : « L'Oréal fait de la discrimination positive et l'assume (…) aujourd’hui, lorsque nous rencontrons un candidat qui a un prénom d’origine étrangère, il a plus de chance d’être recruté que celui qui porte un prénom français de souche. »
J’avais alors adressé un courrier à Jean-Paul Agon pour lui signifier que cette déclaration constituait, selon moi, une violation évidente des lois contre le racisme et la discrimination tout en lui rappelant que nous étions en France, territoire habité par un peuple appelé Français, parmi lesquels un nombre encore important n’est pas disposé à être traité en citoyen de deuxième zone.
Dans le même temps, deux autres lettres ouvertes étaient envoyées à Mme Liliane Bettancourt, principale actionnaire de l'Oréal ainsi qu’à certains cadres de cette entreprise. Car s’il est facile d’applaudir à une politique de la diversité, encore faut-il accepter de laisser sa place le jour où - à compétence égale -, on vous préfère une personne portant un prénom d’origine étrangère…
Mais que fait la Halde ? Cet organisme d’habitude si prompt à réagir lorsqu’il s’agit d’une discrimination à l’égard de personnes issues de l’immigration extra-européenne s’est montré mystérieusement très silencieux sur cette affaire. Ce n’est pourtant pas faute de les avoir prévenus au cas où la déclaration de Jean-Paul Agon leur aurait échappée. En effet, dans un courrier adressé à Louis Schweitzer, je demandais ce que son administration comptait faire face à un président d’une société, qui, dans le cadre de ses attributions, avoue pratiquer une discrimination à l’embauche à l’encontre de toute personne française dite de souche. L’absence de réaction, à ce jour, semble signifier que la Halde pratique donc une véritable discrimination dans sa lutte contre les discriminations. Pour cet organisme, le racisme anti-blanc n’existe pas.
Au final, cette lutte contre les discriminations apparaît comme un véritable racisme déguisé. Aujourd’hui, le message est clair. Quand on s’appelle Mohamed, on a plus de chance d’être embauché chez L’Oréal ou de voir une plainte prise en compte par la Halde.
Comme nous l’avions annoncé à Jean-Paul Agon, les Identitaires ont décidé de lancer une grande campagne d’information sur la politique de discrimination à l’embauche pratiquée chez L’Oréal. Nous allons notamment agir à destination des étudiants en commerce, étant entendu que tout Français de souche qui sera refusé par l’Oréal après l’envoi d’un cv ou un entretien d’embauche, pourra désormais légitimement s’interroger sur les motifs de ce refus.
Mais d’autres actions sont bien évidemment prévues. Nous comptons utiliser tous les moyens à notre disposition pour faire entendre la voix des Français de souche et sensibiliser l’opinion sur cette odieuse forme de discrimination qui les frappe aujourd’hui de manière insidieuse.
Fabrice ROBERT
PS : Une interview exclusive – à paraître sur Novopress – permet déjà de connaître la position de Jean-Claude Legrand, le Directeur mondial de la Diversité et ancien Directeur du Recrutement chez L’Oréal. Très prudent, celui-ci préfère parler de « discrimination positive spontanée » tout en précisant « Nous ce qu'on veut, c'est donner sa chance à Mouloud ». Mais derrière l’usage maîtrisé de la langue de bois se profile une politique de l’embauche assez particulière…
Source: http://www.les-identitaires.com/
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