Bilan des Jeux Olympiques : la France « de la diversité » reste loin des podiums
Depuis la coupe du monde de football de 1998, la gauche comme la droite ont coutume de célébrer à doubles renforts de trompettes les victoires françaises en sport quand celles-ci doivent quelque chose à l'immigration africaine ou maghrébine.
Le Bloc Identitaire qui, pour sa part, s'en tient à l'idéal olympique tel qu'il fut défini par Pierre de Coubertin, observe cependant que les Jeux de Pékin ne permettront pas aux promoteurs de « l'immigration-chance-pour-la-France » de se livrer à leur habituelle propagande.
En effet, les médailles françaises, dans leur immense majorité, ont été obtenues par ce qu'il est convenu d'appeler des Français de souche de métropole et pour leur quasi totalité par ces derniers et des Français des DOM-TOM.
On observera que la « petite » Belgique qui a obtenu plus de médailles que la France en athlétisme, présentait, elle aussi, parmi ses champions, une écrasante majorité de wallons ou de flamands.
Enfin, et pour conclure, la Chine aura écrasé les Jeux de toute la puissance d'un peuple d'un milliard et demi d'hommes et de femmes, profondément soudés par un sentiment identitaire.
La "diversité" est l'avenir ? Vraiment ?
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