Défaite pour SOS Racisme

Très bonne nouvelle : SOS Racisme vient de recevoir un camouflet lors du procès très médiatique qu’elle a intenté contre l’Oréal et Adecco. Comme à son habitude, l’association satellite du PS a dénoncé des « discriminations » à l’embauche, le tout sans preuve réelle bien entendu.

Le 1er juin, la justice a innocenté l’Oréal a Adecco en refusant de reconnaître les soit disantes pratiques discriminatoires qu’elles auraient établi pour l’embauche de représentantes. Le seul tort de l’Oréal dans cette histoire, est d’avoir voulu embaucher des employées qui parlaient la langue française. Lorsque l’on est en France on parle en français, et ça SOS Racisme ne l’a apparemment pas très bien compris.

Je note également un procédé très surprenant de la part de SOS Racisme : avoir mené des enquêtes de mai à septembre 2000 sur des critères ethniques par rapport au nombre d’animatrices. Ainsi, l’association notait une diminution de 38,7% à 4,5% le nombre d’animatrice « non BBR » (BBR voulant dire Bleu Blanc Rouge).

Plutôt que de lutter contre le « racisme », je constate que non seulement SOS Racisme ne lutte pas correctement contre les discriminations (aucune prise en compte par exemple du racisme anti-blanc) mais que en plus, elle ne fait qu’entretenir le communautarisme ethnique et religieux par son discours.

Cette défaite judiciaire de SOS Racisme se doit d’être désormais considéré comme une victoire pour la démocratie.