Formidable percée électorale du NPD en Allemagne

Très belle victoire de la démocratie hier en Allemagne avec l’entrée au parlement de Mecklembourg-Poméranie-Occidentale du NPD qui a obtenu 7,3% des suffrages.

C’est une véritable bouffée d’oxygène pour la politique allemande et surtout pour le peuple allemande qui, depuis trop longtemps, est privé d’une vraie droite nationale pour la défendre.
Je me réjouis de cette bonne santé électorale de la droite nationale allemande qui pour la troisième fois en moins de deux ans, parvient à envoyer des députés dans les parlements régionaux.

Militant acharné de la paix et des droits de l’homme, Udo Pastörs qui était la tête du liste du NPD, sera entouré de quatre autres députés de son parti au sein du parlement de Mecklembourg-Poméranie-Occidentale. Face au système CDU/SPD, le NPD représente la meilleure alternative politique possible pour les allemands. Gravement touché par l’immigration, l’islamisation mais également par la déculturation, l’Allemagne se doit de reprendre confiance en l’avenir et se tourner massivement vers le NPD (ou la DVU alliée) lors des prochaines échéances électorales.

Notons tout de même l’infâme campagne de diabolisation menée par les médias à l’encontre du NPD. En France par exemple, plusieurs journalises ont eu le culot de désigner comme « néo-nazis » les membres du NPD, ce qui est non seulement faux mais en plus parfaitement diffamatoire. Le NPD est un parti de centre droit et qui a pour but de défendre l’identité allemande et ; il n’y a jamais eu au sein de ce parti des références à la période nationale socialiste. Chaque peuple a le droit de défendre son identité et notamment les allemands.
Il serait peut être temps que l’on cesse d’interdire aux allemands de défendre leur identité, il faut en finir avec cette nauséabonde pression morale qui fait de chaque défenseur de l’identité allemande un « fasciste » , un « raciste » ou voir même un « nazi ».
C’est au contraire en permettant aux allemands de défendre comme ils l’entendent leur identité (et notamment au niveau électoral) que l’on empêchera la résurgence d’idéaux ancestraux.