Les dangers de l’africanisation
Certains médias ou pseudos intellectuels s’ « inquiètent » de l’américanisation culturelle de l’Europe et du monde, ils trouvent cela néfaste pour la survie des spécificités culturelles locales, cela est vrai et sur ce point là ils ont tout à fait raison. Par contre, ces mêmes personnes ne trouvent rien à redire sur l’africanisation rampante de notre culture, au contraire, certains s’en réjouissent même au nom du respect de la « diversité » et de la « tolérance ».
Ce qui est inquiétant de nos jours, c’est la part grandissante de l’africanisation dans notre modèle culturel. Le secteur culturel le plus contaminé par l’africanisation est sans aucun doute celui de la musique. Les deux principaux styles musicaux écoutés par les moins de 35 ans (hormis les variétés) sont d’une part le Hip-Hop et d’autre part le RNB. Ainsi, la chanteuse la plus écoutée du moment est Ayo (une métisse gitano-africaine) et l’album le plus vendu actuellement est celui du rwandais Corneille. La star la plus aimée par les français selon certains sondages est le chanteur franco-camerounais Yannick Noah.
Certains ethno-masochistes donnent même des lettres de noblesses à des groupes de rap haineux. Ainsi, Julien Lepers dans son émission « Questions pour un champion » du 26 juillet dernier, a rangé le groupe de rap 113 dans la catégorie des grands groupes de variété de ces 10 dernières années…à quand Joey Starr à l’Académie Française ?
La conséquence directe de cette africanisation culturelle résulte dans une réorientation des modèles sociaux pris comme référence par les jeunes français. Avant, la plupart des jeunes français s’identifiaient à Tom Cruise, Al Pacino, Schwarzenegger, Eric Cantona etc… A l’heure actuelle, les jeunes français prennent pour modèle Jamel Debouzze, Tony Parker, Rohff, Lord Kossity, DMX etc… Etre blanc ça fait « ringard » alors que s’identifier aux blacks est devenu une mode à suivre obligatoirement. Le plus amusant, c’est que ces stars d’origine africaine se fichent éperdument de l’engouement qu’elles suscitent auprès des jeunes blancs, pire : certaines en ont honte. La chanteuse noire Beyoncé par exemple, a indiqué à la fin de l’année 2006 qu’elle faisait de la musique « que pour les noirs ». Le groupe africain Magic System dans ses clips, fait figurer uniquement des noirs et les seuls figurants d’origine européenne sont des blanches au look de petite pétasse.
De ce fait, les blancs sont ridiculisés par ces stars africaines et les jeunes blancs consommateurs en redemandent, si ça ce n’est pas de la l’ethno-masochisme…
Le combat national et identitaire n’est pas seulement politique mais aussi et surtout culturel. Plus que jamais, il convient de donner à la jeunesse française de vrais repères culturels. Il faut dépasser les frontières idéologiques et adopter le principe de préférence communautaire. Mieux vaut écouter du métal ou de la techno plutôt que du RNB ou du zouk, mieux vaut écouter Nostalgie plutôt que Skyrock ou NRJ, mieux vaut regarder Pascal Sevran plutôt que les émissions musicales de M6, mieux vaut regarder le JT de France 2 plutôt que celui de TF1 avec Roselmack, mieux vaut fantasmer sur Cameron Diaz plutôt que sur Noémie Lenoir, mieux vaut soutenir en football l’Italie ou l’Espagne plutôt que l’équipe de France etc…
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