Violences afro-antillaises à Savigny-le-Temple
Encore une fois, des bandes ethniques ont semé la terreur en Ile-de-France. Cette fois-ci, il s’agit de bandes afro-antillaises qui ont fait parler d’elles dans la nuit de vendredi à samedi à Savigny-le-Temple.
Comme c’est souvent le cas, les fêtes communautaristes afro-antillaises attirent de nombreux « jeunes » et notamment des « jeunes » de banlieues, ces « jeunes » se déplacent en bande et prennent à chaque fois le RER.
Sans surprise, la fête afro-antillaise a mal tourné du fait que plusieurs jeunes afro-antillais n’ont pas pu accéder à la salle qui accueillait l’évènement. Cela a eu comme conséquence d’exciter plusieurs jeunes afro-antillais qui se sont battus mais qui surtout, ont procédé à une véritable chasse aux blancs (la fameuse chasse aux « sales babtous ») sur la ligne D du RER. Plusieurs voyageurs (pour la quasi-totalité des « sales babtous ») ont été ainsi agressés sauvagement par ces bandes afro-antillaises (un jeune homme a même dû être emmené aux urgences après avoir été blessé à l’œil).
Ces nouvelles scènes de violences ethniques démontrent à nouveau le danger du communautarisme noir, un communautarisme qui ne concerne pas exclusivement les africains mais également les antillais. Ce n’est pas parce que les Antilles sont administrativement et politiquement françaises qu’il faudrait éviter le débat sur les dangers du communautarisme antillais. Lorsque les basques ou les corses commettent des méfaits la presse ne se gêne pas pour en parler, pourquoi devrait-il en être autrement pour les antillais ?
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