La démocratie en danger en Belgique

Après le procès en 2004 contre le Vlaams Blok, après la condamnation haineuse il y a quelques semaines du président du FN Belge Daniel Féret, voilà que la classe juridico-politico-médiatique bruxelloise (aidée par des associations immigrationnistes) souhaite supprimer maintenant la dotation financière publique dont bénéficie le Vlaams Belang.

Les motifs avancés par les plaignants sont naturellement infondés et voilà qu’on évoque à nouveau le « racisme » (sic) du Vlaams Belang. « Racisme » un mot magique (et très à la mode en ce moment) en Belgique qui permet de tuer moralement et juridiquement une personne ou une association mise en cause. Il faut dire aussi que les politicards et immigrationnistes ont une définition très large et surtout très floue de la définition du terme racisme.

Voici la définition du mot « racisme » tirée du Petit Robert (édition 1988) : "Théorie de la hiérarchie des races qui conclut à la nécessité de préserver la race dite supérieure de tout croisement et à son droit de dominer les autres. Ensemble de réactions qui, consciemment ou non s'accordent avec cette théorie".

Ayant analysé la plupart (certes pas tous) des discours des dirigeants du Vlaams Belang, j’ai à aucun moment, réussi à trouver des citations relatant de la théorie sur la hiérarchie des races. Donc à partir de là, je ne vois pas à partir de quoi la classe politicienne belge, ose t-elle parler de « racisme » concernant le Vlaams Belang. Le Vlaams Belang ne fait que défendre l’identité flamande, à moins que cela soit interdit ? Lorsque la communauté africaine défend son identité on dit que c’est bien, lorsque la communauté maghrébine défend son identité on dit que c’est bien, en revanche lorsque les flamands (ou les belges de souche) en font de même on dit que c’est pas bien… Souhaitons qu’un jour les flamands et les wallons se réveilleront et casseront la dictature de la pensée unique en Belgique. Défendre son identité est un droit pour tous à commencer par les autochtones !