Affaire Nouchet : défaite pour le lobby gay
Au début de l’année 2004 à Noeux-les-Mines, Sébastien Nouchet, un homosexuel, fut retrouvé gravement brûlé dans son jardin et invoquait à l’épqoue une agression à caractère homophobe.
Très vite, la machine politico-médiatique s’est enclenchée à vitesse Grand V avec sans surprise, une récupération militante de la part des associations de gays et lesbiens et bien entendu de l’extrême gauche (Verts en tête).
Fin 2004, une loi fut adoptée afin de lutter contre l’ « homophobie », une loi portant carrément le nom de « loi Nouchet » (heureusement qu’il n’y a pas une loi pour chaque agression, sinon au moins un français sur deux possèderait une loi à son nom…).
Mais voilà que cette semaine, l’affaire Nouchet a connu un nouveau rebondissement puisque une ordonnance de non-lieu a été prononcée dans le cadre de l’agression présumée de Sébastien Nouchet. En plus de ne pas avoir trouvé de coupables (sauf ceux désignés injustement par Nouchet il y a plus de deux ans), la juge de Béthune a également mis en avant l’absence totale d’élucidation des circonstances dans lesquelles sont survenues les brûlures.
Tout cela montre bien la dangerosité de l’exploitation médiatique à des fins partisanes d’un fait divers. Parler d’ « homophobie » est un non-sens car celle-ci n’existe pas et ressemble plus à un fantasme qu’à quelque chose de concret. A partir de l’instant on l’on parle d’homophobie, pourquoi ne pas parler alors également d’hétérophobie ? Pourquoi une catégorie de population serait-elle privilégiée par rapport à une autre ?
Le gouvernement se doit maintenant de corriger au plus vite son erreur et d’abolir les lois contre l’ « homophobie ». Concernant maintenant Sébastien Nouchet, il serait tout à fait souhaitable qu’il présente ses excuses et fasse lui-même la demande au Ministre de la Justice d’abroger la loi à son nom.
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