22 octobre 2006

Les ravages de l’islamisation dans les hôpitaux

L’islamisation qui fait des ravages un peu partout dans notre société, touche tous les secteurs de notre vie quotidienne et notamment les hôpitaux.

Ainsi, nous avons appris cette semaine qu’un gynécologue obstétricien a été sauvagement frappé car celui-ci apportait des soins à une femme musulmane. Visiblement, cela ne plaît pas à certains musulmans qu’un médecin non-musulman puisse apporter des soins à une musulmane.

Comme l’ont dit Bruno Mégret et Philippe De Villiers : « La France n’a pas vocation à devenir une terre d’islam ». Si il faut respecter toutes les croyances, il faut en revanche se faire à l’idée que certaines d’entres elles ne sont pas applicables partout.

Il y a aujourd’hui en France (comme dans tout le monde occidental) de nombreuses interrogations (légitimes) quant à la compatibilité de l’islam avec nos sociétés démocratiques aux origines chrétiennes. Plutôt que de parler d’islamisation, nos dirigeants masquent constamment la réalité et préfèrent utiliser le terme on ne peut plus vague de « communautarisme ». Hors, à chaque fois qu’il y a un problème de « communautarisme », c’est dans 9 cas sur 10 la religion musulmane qui est en cause : port du tchador, repas sans viande de porc, horaires réservées aux musulmanes dans les piscines, construction de mosquées, application de la Charia dans certains quartiers, violence dans les hôpitaux etc…

Afin de rétablir l’ordre et bien être dans notre pays, je conseille à nos dirigeants d’appliquer vis-à-vis de l’islam la même politique qu’applique l’Arabie Saoudite vis-à-vis du christianisme. Pourquoi ce qui est possible en Arabie Saoudite ne pourrait-il pas l’être également chez nous ?