24 février 2009

L’extrême droite au pouvoir en Israël

Suite aux dernières élections législatives, l’extrême droite israélienne incarnée par Avigdor Lieberman va, selon toutes vraisemblances, faire son entrée dans un gouvernement dirigé par Benjamin Netanyahu. Cette nouvelle est banale dans la mesure où la presse du système ainsi que les politiciens européens en parlent peu. Et pourtant, je ne peux m’empêcher de faire un parallèle entre cet évènement et ce qui s’est déroulé il y a neuf ans.


Il y a neuf ans, l’ensemble des médias et des politiciens mondialistes aboyaient lorsque la droite nationale autrichienne menée par le regretté Jörg Haider décidait de participer à un gouvernement d’union nationale avec les conservateurs. A cette époque, nombreux étaient ceux qui crachaient leur venin sur l’Autriche à commencer par la France mais aussi et surtout Israël. L’arrivée du FPO au sein du gouvernement autrichien était assimilée à un « retour du nazisme ».


Neuf ans après, c’est en Israël que l’extrême droite s’allie avec la droite au gouvernement et là, bizarrement, pas un seul cri d’indignation, pas un seul boycott diplomatique, quasiment aucun discours de diabolisation. Pourtant, Avigdor Lieberman est bel et bien un extrémiste racialiste contrairement à feu Jörg Haider. Le discours de Lieberman pendant la campagne électorale était on ne peut plus clair : organiser un nettoyage ethnique en Israël en éliminant les arabes israéliens.


L’indignation du système est donc à géométrie variable et apparemment, seuls les israéliens ont le droit d’avoir un gouvernement d’extrême droite. D’ailleurs, je suis surpris par le silence des « intellectuels » anti-racistes tels que Bernard-Henri Lévy, Elie Wiesel ou bien encore André Glucksmann. Eux, qui ont toujours été aux avant-postes pour dénoncer l’ « extrême droite » en Europe, pourquoi se taisent-ils lorsqu’il s’agit d’Israël ? Pourquoi ce qui est censé être « dangereux » et « mauvais » pour l’Europe ne le serait-il pas également pour Israël ?

Enfin, on notera également que le «grand spécialiste de l’extrême droite » Jean-Yves Camus ne souhaite pas évoquer le sujet (lui qui pourtant est aux premières loges lorsqu’il s’agit de cracher sur le FN ou le Vlaams Belang).


Le réflexe communautaire prendrait-il le pas sur l’honnêteté intellectuelle… ?



18 février 2009

En finir avec le boulet antillais…

Le climat ethnico-scial ne cesse de se dégrader aux Antilles ces derniers jours. Les agressions anti-blanches se sont généralisées au point même que les journalistes (pourtant aux ordres du système) sont obligés de l’admettre. Ainsi, ce midi sur France 3, la journaliste Emilie Queno a évoqué les agressions systématiques contre les métropolitains par les jeunes antillais.


Comme d’habitude, les Antillais réclament davantage d’aides de la métropole, ils s’estiment « mal traités » par cette dernière, surtout en cette période de crise économique. Pourtant, lorsqu’on y regarde de plus près, on peut constater que les Antillais bénéficient de très gros avantages économiques accordés par la métropole. Par exemple, l’essence est moins chère aux Antilles qu’en métropole à cause de subventions de la part de l’Etat, les billets d’avions (pour les destinations métropoles/Dom-Tom) son moins chers pour les Antillais enfin, l’Etat accorde plus d’aides pour le logement social dans les Dom-Tom.


Par ailleurs, les Antillais reprochent aux békés (descendants de colons installés sur l’île) de détenir toutes les richesses. Cela n’est pas totalement faux mais il faut savoir que ce sont ces mêmes békés qui sont les seuls à créer une activité économique en Guadeloupe et en Martinique. Sans les békés, les Antillais ressemblerait aux Comores ou à la Somalie…


Cette crise antillaise possède tout de même un mérite : elle permet de redéfinir la notion d’identité française dans les Dom-Tom. En effet, on peut voir actuellement qu’une part grandissante d’Antillais se définissent comme afro-antillais et non comme Français ; mieux : certains rejettent l’appartenance française des Antilles.

Il faut profiter justement de cette crise pour redonner une cohérence à la notion d’identité française. Nous en avons terminé avec l’épopée napoléonienne et il est temps de se séparer de ces territoires qui ne nous rapportent rien.


Pourquoi vouloir conserver les Antilles dans le giron français ? Les Antillais sont-ils des Français à part entière au même titre que les Normands, Franciliens, Alsaciens ou Bretons ? La réponse semble évidente…Et que dire de l’identité européenne ? Certains combattent (légitimement) l’intégration de la Turquie au sein de l’Union européenne pour des raisons culturelles, mais la question devrait aussi se poser pour les Antilles qui ne sont pas vraiment européennes (hormis un simple attachement administratif à une puissance européenne qu’est la France).


Il convient d’avoir un langage clair et sans tabou concernant les Antillais. On doit absolument se séparer de ces deux boulets que sont la Guadeloupe et la Martinique (la question mérite également d’être posée pour la plupart des autres terres extra-européennes). Les Antillais doivent avoir le droit d’être indépendants. Une indépendance des Antilles serait synonyme d’importantes économies pour notre pays et cela permettrait de redonner une certaine cohérence à la notion d’identité française.



Les leçons d'un sondage

Article de Yann Redekker:

S'il on en croît un sondage réalisé par l'IFOP pour l'hebdomadaire Paris-Match cette semaine les listes du Front National obtiendraient un petit 6 % tandis que les listes dissidentes de Carl Lang et de Jean-Claude Martinez arriveraient elles péniblement à un minuscule 0,5 % aux élections européennes du 7 juin prochain . Doit-on s'en réjouir comme s'en réjouissent certains ?

Reportons-nous dix ans plus tôt. Le FN à l'époque et alors que la scission mégretiste battait son plein et que ce dernier, plein d'espoir se croyait déjà César à la place du César historique et légitime, avait obtenu 5,69 % contre 3,28 % pour le parti de Bruno Mégret. Il est à noter qu'en 1999 un nouveau mouvement prenait lui aussi quelques voix au mouvement national, au point de dépasser le FN en terme de pourcentage, il s'agissait du CPNT de Jean Saint-Josse.

Dix ans plus tard, les cartes semblent à nouveau être redistribuées dans le même ordre : le FN ferait près de 6 %, Nicolas Dupont-Aignan - le Saint-Josse de 2009 - près de 2 % , Philippe de Villiers 5 % et donc les listes dissidentes du Front National 0,5 %.

Le Front National n'est donc pas encore le cadavre que certains voudraient qu’ils soient mais, hélas, son corps est touché par un nombre incalculable de coups, de morsures, de blessures qui s'ils n'apparaissent pas au premier coup d'oeil sont flagrant dès que l'on prend la loupe.

La défection de dizaines de cadres " historiques " du mouvement présidé par Jean-Marie Le Pen, quoiqu'on en dise au " Carré " de Nanterre, est un coup de massue dont les effets sont évidents. Malgré tout, il faut reconnaître que l'équipe dirigeante du FN est remarquable dans sa capacité à réagir. Mais, oui, à quatre mois du scrutin, force est de reconnaître que la mousse ne prend pas. Pas encore, du moins, je l'espère.

Car, aux vues de ce sondage IFOP, il y a de quoi s'inquiéter. Certes, on me dira qu'il ne s'agit que d'une enquête d'opinion faite auprès d'un nombre limité de personnes - j'aimerais bien savoir comment elles sont sélectionnées d'ailleurs -mais tout de même savoir que l'extrême-gauche qui plaît beaucoup aux médias, arrive à 16 % ça me fait véritablement froid dans le dos ! Parmi les gaucho-rebelles modèles 2009, Besancenot et son NPA ferait 9 %, Mélenchon et les communistes 4 % et les trotskistes de Lutte Ouvrière 3%.

Et les autres me direz-vous. L'UMP arrive en tête avec 26 % suivi des socialistes avec 23 % du Modem de Bayrou avec 14,5 %, tandis que les écologauchistes embarqués derrière la figure de proue de mai 68 Daniel Cohn-Bendit il arriveraient péniblement à recueillir 7 % des voix.

Mais, oui, il y a de quoi s'inquiéter.

Yann Redekker



15 février 2009

Belle manifestation patriote à Dresde

C’est au nom du devoir de mémoire que se sont rassemblés hier à Dresde, en Allemagne, près de 7000 patriotes afin de commémorer le 64ème anniversaire des bombardements de Dresde.


Bien que faible dans les urnes, la droite nationale allemande est néanmoins forte sur le plan militant comme en atteste la formidable réussite de la manifestation de hier.


Malheureusement, la manifestation des patriotes allemands a été perturbée par des crasseux de gauchistes qui ont voulu empêcher les militants du NPD de manifester.


En tout cas, il convient de saluer cette belle initiative du NPD qui est actuellement outre-Rhin la meilleure structure pour défendre l’identité nationale allemande.



10 février 2009

Hausse du racisme anti-blanc aux Antilles

Ces derniers jours, les médias ont évoqué l’aggravation du climat social aux Antilles. Officiellement, les antillais manifestent contre la vie chère, officieusement les antillais luttent contre la « trop forte » présence de blancs parmi les chefs d’entreprise.


La haine du blanc ressurgit en Guadeloupe et en Martinique avec la propagation d’un discours dénonçant la trop forte présence de « békés » dans les îles. Les syndicats communautaristes antillais sont en première ligne dans la théorisation du discours anti-blanc.


Avec un tel comportement, les antillais prouvent une nouvelle fois qu’ils ne se reconnaissent pas dans l’identité française. D’ailleurs, il est extrêmement rare que les antillais s’identifient par rapport à la France. Ainsi, la plupart des antillais préfèrent mettre en avant leur identité afro-antillaise plutôt que de montrer leur attachement à la France.


Pour ma part, je pense qu’il va bien falloir un jour ou l’autre prendre une décision concernant les Antillais. Pourquoi vouloir conserver à tout prix des populations qui ne se reconnaissent peu voire pas du tout dans les valeurs nationales ? Je ne suis pas défavorable à l’indépendance de la Guadeloupe et de la Martinique. Ces deux îles constituent d’énormes boulets financiers pour le contribuable français, un contribuable français dont une partie de ses impôts finance indirectement des syndicats et partis politiques…indépendantistes !



02 février 2009

Alain Soral quitte le FN

C’est officiel : Alain Soral quitte le Front National. Il le quitte non pas parce qu’il est en profond désaccord avec telle ou telle personne mais tout simplement parce qu’il n’a pas reçu l’investiture du parti pour être tête de liste aux élections européennes dans la région parisienne.


Un départ d’un mouvement est souvent une mauvaise chose et je trouve dommage ce départ d’Alain Soral. Alain Soral apportait un petit plus au FN dans la mesure où il constituait une sorte d’ « aile gauche » du mouvement. Le problème par contre, c’est qu’il occupait une place trop importante à mes yeux au sein du FN et que certaines de ses idées étaient néfastes pour le parti.


Si je suis d’accord avec ses positions concernant la lutte contre le nouvel ordre mondial, je suis en revanche radicalement opposé sur sa vision de la société française. Alain Soral au même titre qu’Harlem Désir ou bien encore Malek Boutih était un partisan de la France « Black, Blanc, Beur », un concept révélateur de l’ethnocide de la société française. Soral fantasme à une hypothétique alliance entre les « petits blancs » et les « beurs des banlieues », cela est impossible surtout que les derniers cités sont animés d’un esprit de conquête culturelle et politique.


Alain Soral (mais il n’est pas le seul), a mal conseillé Jean-Marie Le Pen lors des dernières élections présidentielles. Les discours de Valmy et de la dalle d’Argenteuil ont fait plus de mal que de bien au FN. Croire que les jeunes allogènes allaient voter Le Pen était un pari perdu d’avance. Pourquoi les jeunes allogènes auraient-ils voté pour un mouvement censé incarner le retour à une France française ?


En tout cas Soral n’y est pas allé avec le dos de la cuillère ces derniers jours puisqu’il (ainsi que ses amis) a eu un langage assez ordurier vis-à-vis de Jean-Michel Dubois, candidat désigné pour être tête de liste du FN aux européennes en Ile-de-France. Un choix qui ne plaît apparemment pas à Soral et ses amis. Me concernant, je ne suis pas également un grand fan de Jean-Michel Dubois et j’ignore encore pour qui voter à ces élections européennes.