22 mars 2009

Stop aux attaques contre le Pape

Depuis quelques jours, on assiste à un déferlement de propos haineux à l’encontre de sa sainteté Benoît XVI. Il est reproché à ce dernier d’avoir dit tout haut ce que des millions de gens pensent tout bas concernant le Sida en Afrique.


Bien sûr, les médias s’en donnent eux aussi à cœur joie et se font un malin plaisir de diffuser massivement tout propos hostile à sa sainteté. Parmi celles et ceux qui crachent leur venin sur le Pape, il y a notamment Ramatoulaye Yade et Nadine Morano.


Ramatoulaye (Rama pour les médias) Yade a osé émettre un jugement concernant les propos tenus par le Pape. De quel droit Ramatoulaye Yade se permet-elle cet écart ? La ministre musulmane n’a pas à faire de l’ingérence dans la sphère chrétienne.


Nadine Morano quant à elle, est extrêmement mal placé pour donner des leçons de morales compte tenu de ses positions favorables à l’adoption d’enfants par des couples homosexuels.


Enfin, on notera également que Daniel Cohn-Bendit a osé lui aussi s’attaquer au Pape. Daniel Cohn-Bendit candidat des Verts aux prochaines élections européennes et également connu pour avoir pratiqué des attouchements sexuels sur des gamins dans un jardin d’enfants à Francfort…

Avec de tels ennemis, le Pape sort grandit de cette affaire.



Dieudonné candidat aux européennes

C’est officiel : Dieudonné sera candidat aux élections européennes en Ile-de-France. Cette candidature n’est pas vraiment une surprise puisqu’il fut déjà candidat en 2004 avec la liste Euro-Palestine.


Dieudonné qui est connu pour son insoumission au politiquement correct, fera campagne sur le thème de la lutte contre l’axe Washington- Tel Aviv.


Dieudonné est quelqu’un de courageux et l’on peut apprécier son combat contre le génocide palestinien. Cependant, Dieudonné dérape quelque peu en souhaitant s’allier avec le raciste anti-blanc Elie Domota.


Il y aura donc deux candidat anti-système dans cette élection européenne en Ile-de-France : Dieudonné et Jean-Michel Dubois (pour l’instant, aucun autre candidat de la droite nationale ne s’est manifesté). J’ignore encore pour qui ira ma voix, mais il y a peu de chances pour qu’elle aille à Dieudonné.



Destruction du patrimoine espagnol

D’ici quelques jours, une statue du général Franco pourrait être retirée dans la commune de Melilla. Cet acte répugnant s’inscrit dans un long processus initié en Espagne depuis 2007 et qui vise à supprimer tous les monuments faisant référence au général Franco.


Cette mesure est clairement une attaque contre l’identité espagnole, une identité espagnole fortement remise en cause d’ailleurs à Melilla puisque cette ville (qui est enclavée sur le territoire marocain) est frappée par un tsunami migratoire en provenance de l’Afrique subsaharienne.


Au lieu de souiller le patrimoine espagnol, le socialiste Zapatero ferait mieux de lutter efficacement contre l’invasion afro-musulmane qui touche son pays.



18 mars 2009

Que penser du Parti de la France ?

Depuis quelques semaines, l’actualité politique de la droite nationale a été marquée par la création du Parti de la France, le mouvement de Carl Lang. Ce mouvement a dans ses rangs de nombreux anciens cadres du FN et pas les plus mauvais : Christian et Myriam Baeckeroot, Martial Bild, Martine Lehideux, Thomas Joly sans oublier le ralliement de Bernard Antony.


A première vue, ce mouvement a l’air intéressant d’autant plus que j’ai beaucoup d’estime pour Carl Lang. Celui-ci possède à mes yeux la stature pour diriger et unifier l’ensemble de la droite nationale. D’ailleurs, il y a de cela quelques temps, je militais ouvertement pour qu’il devienne le futur président du Front National.


La semaine dernière, Carl Lang a franchi un cap important dans l’union des patriotes puisqu’il a tenu une conférence de presse avec notamment des membres du MNR et de la Nouvelle Droite Populaire (même si il convient de reconnaître que ces deux structures sont des groupuscules).


Le Parti de la France a donc d’immenses potentialités, surtout si ses dirigeants ne tombent pas dans la folie des grandeurs (comme par exemple Bruno Mégret qui, il y a dix ans, visait les 30% lors de la création du MNR…). Autre atout de ce mouvement : la volonté de défendre les fondamentaux idéologiques de la droite nationale.

Bref, le Parti de la France a tout pour me plaire : volonté d’union, personnalité de Carl Lang, présence de cadres que j’apprécie et surtout une ambition de mise en avant de certains fondamentaux idéologiques. Pourtant, lorsque l’on y regarde de plus près, il y a certaines zones d’ombres, des zones d’ombres qui m’empêchent de franchir le rubicon.


Déjà au niveau de la défense des fondamentaux il y a quelque chose qui me chagrine. Le Parti de la France entend marquer une rupture avec le FN dans la mesure où ce dernier aurait négligé certaines valeurs idéologiques. Mais, c’est ce même Parti de la France qui tient à faire alliance avec le mondialiste Jean-Claude Martinez ! On ne peut pas reprocher au FN d’être « mou » et dans le même temps faire alliance avec Jean-Claude Martinez (y compris au nom de l’ « union de la droite nationale »).


En ce qui concerne les reproches contre Marine Le Pen, j’ai pu lire de la part d’un certain François Dubout ce genre de propos à propos de Marine Le Pen : « on en finit par se demander si elle n’a pas un deal avec Sarkozy ! ». François Dubout, ancien frontiste et dorénavant avec Carl Lang, a la mémoire courte. En mars 2008, lors des élections municipales de Calais, François Dubout a trahi l’idéal patriotique en retirant sa liste (pourtant qualifiée pour le 2ème tour) afin de faire gagner les mondialistes de l’UMP contre les mondialistes communistes. Sauf erreur de ma part, Marine Le Pen ne s’est jamais couchée devant l’UMP alors que François Dubout si !


Il y a également la question de la légitimité politique. Le Parti de la France compte dans ses rangs de nombreux élus ; très bien ! Le problème qui se pose, c’est que ces élus l’ont tous été avec une étiquette FN (hormis les époux Baeckeroot qui ont été élus Conseillers municipaux sans l’investiture du FN). Le Parti de la France doit donc gagner en légitimité (cela viendra peut-être) et réussir à obtenir des élus « normalement ».


Enfin la question de l’utilité doit se poser. Si il est vrai que le FN n’a plus la même importance qu’en 2002, il n’en demeure pas moins qu’il est actuellement le mieux placé pour affronter le terrain électoral. Cela étant, il n’est pas non plus illégitime que le Parti de la France puisse présenter des candidats et notamment aux européennes. Mais la question du vote utile va inéluctablement se poser. Il ne faut pas renouveler l’épisode de 1999 avec un FN à 5% et un MNR dont la seule finalité était de nuire au FN. Même si je ne pense pas (mais je peux me tromper) que le Parti de la France a comme seule finalité de nuire au FN, je crois en revanche qu’il est plus que nécessaire de ne pas empirer la situation au sein de la droite nationale.


A tous ceux qui sont donc tentés de rejoindre le Parti de la France, remémorez vous le passé et notamment 1999. Remémorez vous l’époque de cette soirée de juin 1999 lors de laquelle la droite nationale s’effondrait alors qu’au même moment les Daniel Cohn-Bendit, Fodé Sylla ainsi que Ras L’front faisaient la fête…



15 mars 2009

Violences ethniques aux Mureaux

Les violences ethniques sont quotidiennes en Ile-de-France mais pour une fois les médias en parlent. Cette fois-ci, c’est la commune des Mureaux qui connaît de nombreuses scènes de violences ethniques, des violences qui ont eu comme grave conséquence de faire plus d’une dizaine de blessés parmi les forces de l’ordre.


Comme d’habitude, c’est un fait divers qui a mis le feu aux poudres. Ainsi, c’est en raison de la mort d’un voyou originaire du quartier des Musiciens il y a quelques jours, que des jeunes allogènes ont décidé de tout casser. Le plus grave dans cette histoire c’est sans aucun doute les tirs contre les policiers.


Mais bon, à en croire le maire (divers gauche) des Mureaux, la situation n’est pas si « grave » que cela…



07 mars 2009

Le racisme des antillais

Les récents évènements en Outre-mer ont permis aux Français de connaître un aspect méconnu des antillais : leur haine viscérale des blancs.

Hier encore, à Fort-de-France en Martinique, des jeunes afro-antillais ont organisé une chasse aux blancs dans les rues et cela a été médiatisé aujourd’hui sur TF1.


Pour en revenir au sujet du racisme des antillais, celui-ci éclate enfin au grand jour. Depuis longtemps, je fais partie de ceux qui pensent que les Antillais ont une lourde responsabilité dans le développement du racisme anti-blanc. Il est vrai que l’on parle souvent des africains et des maghrébins dans la propagation du racisme anti-blanc, mais rarement la responsabilité des antillais est évoquée. Pourtant, le discours anti-blanc est présent depuis fort longtemps aux Antilles. Sous couvert du « combat pour la mémoire de l’esclavage », de nombreuses personnalités antillaises distillent un discours nauséabond à l’encontre des « békés », ces « békés » qui seraient responsables de tous les maux de la société antillaise. Ainsi, Aimé Césaire avec son concept de « négritude », fut le premier « intellectuel » à conceptualiser le discours anti-blanc ; à force de diaboliser et de stigmatiser le blanc dans ses écrits, Césaire a donc créé les bases du racisme anti-blanc aux Antilles.


Sur le plan purement politique, les mouvements autonomistes et indépendantistes sont des vecteurs de la lutte anti-blanche. En Martinique par exemple, la première force politique est le mouvement indépendantiste d’Alfred Marie-Jeanne : le Mouvement indépendantiste martiniquais. Officiellement le discours des partis indépendantistes (comme autonomistes d’ailleurs) est une indépendance pour la Martinique, officieusement il s’agit d’expulser les « békés » qui occupent des places stratégiques dans l’île.


Le racisme des antillais ne concerne d’ailleurs pas uniquement les Antilles mais aussi la métropole. Les jeunes afro-antillais présents dans notre pays tiennent, pour la plupart d’entre eux, un discours très radical vis-à-vis des « babtous » (du verlan toubabs voulant dire blancs). Sur les skyblogs par exemple, on peut voir une multitude blogs de jeunes afro-antillais dans lesquels les messages haineux contre les blancs sont nombreux. Culturellement parlant d’ailleurs et au même titre que l’islamisation avec les musulmans ; les jeunes afro-antillais refusent d’assimiler les modes culturelles européennes et ne jurent que par la culture afro-antillaise. Ainsi, le zouk et le RNB sont préférés à la pop music et à la techno ; le drapeau rasta est préféré au drapeau français et les soirées 100% black sont préférés aux soirées « classiques » dans les boîtes de nuit.


L’actualité aux Antilles se doit d’avoir un effet déclencheur auprès des Français. D’ailleurs ceux-ci commencent à devenir majoritairement favorables à l’indépendance des Antilles ; cela est un signe extrêmement encourageant. La question antillaise se doit désormais d’être posée sans aucun tabou et il convient de dire de la manière la plus explicite possible qu’il existe un immense fossé entre la Français et les Antillais. Les Antillais sont de plus en plus nombreux à ne plus se sentir Français, alors au nom de quoi, nous Français, devraient-on avoir l’obligation morale de considérer les Antillais comme des Français à part entière ?



Guadeloupe : le masque tombe définitivement

Article de Yann Redekker:

Elie Domota le porte-voix du LKP, un collectif qui est censé juste combattre pour que les Guadeloupéens puissent vivre mieux - grand programme - a montré au lendemain de la signature de l'accord de sortie de crise avec le préfet la véritable raison d'être de son fonds de commerce : gauchisme révolutionnaire et racisme anti-blanc. Alors qu'une majorité de chefs d'entreprises - parmi lesquels une majorité de blancs- n'étaient en rien impliqués dans ce diktat obtenu sous pression, Elie Domota, qui, rappelons-le tout de même est un fonctionnaire catégorie A du Pôle emploi, menace clairement ces derniers " Soit ils appliqueront l'accord, soit ils quitteront la Guadeloupe".

Qu'est-ce que cela veut dire ? Est-ce sous la menace de la valise ou du cercueil que les patrons de l'île vont devoir vivre désormais ?

Les extrêmistes du LKP, assurément de bons professeurs en révolution pour l'ami Besancenot, ont donc pris les commandes et il apparaît clairement que le préfet n'est plus en mesure de tenir sa place. " Nous n'arrêterons pas et je l'ai dit ce soir au préfet. Nous sommes très fermes sur cette question-là. Nous ne laisserons pas une bande de békés rétablir l'esclavage " a affirmé Domota à la presse locale incitant les habitants de l'île antillaise à ne pas se rendre dans les magasins qui n'ont pas signés l'accord et à à ne pas donner du travail aux entrepreneurs hostiles. Des militants LKP maintiennent le blocus dans de nombreux endroits et font régner une terreur de plus en plus vive aux Guadeloupéens qui ne sont pas d'accord avec leurs exigences.

Chacun est aujourd'hui en raison de se demander ce qu'il va advenir dans les jours à venir. D'autant plus que l'accord aura fait forcément des envieux dans les autres départements et territoires d'outre-mer. La Réunion après la Martinique s'y est mis et ce n'est pas la seule... La semaine passée, Olivier Besancenot, José Bové et dans une moindre mesure Ségolène Royal étaient présents en Guadeloupe : pour préparer un nouveau mai 68 ?

Réponse très bientôt !

Yann Redekker


Source: http://voxfnredekker.canalblog.com/


01 mars 2009

Succès de la droite nationale en Autriche

Les élections se suivent et se ressemblent en Autriche et cela n’est pas pour me déplaire…Une nouvelle fois, la droite nationale autrichienne a effectué une remarquable performance électorale dans les urnes. Tout d’abord dans l’élection régionale de Carinthie où le BZO obtient un score historique de 45,48%, les socialistes quant à eux sont littéralement écrasés avec 28% des voix. En additionnant les scores du BZO et du FPO en Carinthie, la droite nationale autrichienne frôle les 50% ! Enfin, dans la région de Salzbourg, le FPO obtient 13% des voix (contre 8% en 2004), en cumulant avec le résultat du BZO, la droite nationale obtient 17% des voix dans la région de Salzbourg.


La droite nationale a décidément le vent en poupe en Autriche et cela est de bon augure pour les élections européennes de juin. Le problème en revanche est que celle-ci reste divisée même si il se murmure de plus en plus que le FPO et le BZO pourrait conclure une alliance du même type que celle de la CDU et de la CSU en Allemagne. Ainsi, le FPO laisserait le champ libre au BZO en Carinthie mais obtiendrait en échange le retrait du BZO dans les élections des huit autres régions autrichiennes.