27 juin 2006

L’odieux chantage des associations de gays et lesbiennes

A bientôt un an des élections de 2007, diverses associations et lobbys de la communauté homosexuelle se mobilisent pour 2007 en imposant un odieux chantage aux diverses formations politiques.

En gros, les associations de la communauté gay veulent imposer aux candidats à l’élection présidentielle de 2007 de se prononcer en faveur du « mariage » gay mais aussi pour l’homoparentalité. Sans surprise, la gauche et l’extrême gauche ont répondu très favorablement aux demandes des associations de la communauté gay (même Ségolène Royal qui, parait-il selon certains, serait « conservatrice », milite pour le « mariage » gay). Cette position de la gauche, même si je m’y oppose, à au moins le mérite d’être claire.

A droite, ou plutôt à la pseudo-droite, Nicolas Sarkozy frise le ridicule en mandatant l’ancien ministre Luc Ferry de réfléchir à la question et de faire un rapport. Sarkozy a donc besoin d’un «rapport », cela serait la preuve que Sarkozy est totalement incapable d’émettre une opinion personnelle sur un sujet de société. La vérité c’est que Sarkozy ne dira jamais ce qu’il pense du sujet afin d’une part de ne pas être trop en décalage des diverses enquêtes d’opinion mais aussi et surtout, pour ne pas se mettre en froid avec ceux au sein de l’UMP qui sont favorables au « mariage » gay (Roselyne Bachelot, Jean-François Lamour et Jean-Luc Roméro).

Pour 2007 il faudra prendre en compte la position des candidats à l’élection présidentielle sur la question du « mariage » gay et de l’homoparentalité. Je pense ainsi, qu’il faudra voter pour celui qui est opposé au « mariage » gay et à l’homoparentalité mais également, à celui qui aura le courage politique d’abroger le PACS. Toutes les idées diamétralement opposées à celles de l’Eglise Catholique se doivent d’être combattu fermement, on ne peut pas se dire catholique, protestant, juif ou musulman et dans le même temps voter pour un candidat qui compte appliquer des mesures qui vont à l’encontre du sacré.