Le 7 juin prochain auront les élections européennes en Belgique mais également les élections régionales. Des élections régionales qui seront marquées par une multitude de candidatures de la « diversité ». Ainsi, dans la périphérie de Bruxelles, Mahinur Özdemir, une « belge » d’origine turque sera candidate pour le CDH (Centre démocrate humaniste, la version belge du Modem français), particularité de cette candidate : elle apparaît voilée sur les affiches électorales et compte conserver son voile une fois élue au parlement régional.
Connaissant bien la Belgique et notamment la région bruxelloise, je ne suis pas surpris par ce type de candidature. Des communes comme Molenbeek ou Schaarbeek sont déjà à majorité musulmane (en tout cas au niveau de la pratique religieuse) et les candidatures communautaires y font un véritable tabac sur le plan électoral.
Les partis du système en Belgique misent désormais sur la stratégie communautaire afin d’attirer des électeurs dans les communes fortement peuplées d’allogènes. Les électeurs belges doivent absolument se réveiller avant qu’il ne soit trop tard et voter en masse pour la droite nationale le 7 juin prochain (Vlaams Belang pour la Flandre et FN Belge pour la Wallonie).
Après les mosquées, les boucheries halal et les écoles coraniques, l’islamisation de la France franchit un nouveau cap avec l’implantation possible sur notre sol de cimetières islamiques.
Jusqu’à maintenant, les musulmans disposaient de carrés confessionnels dans les cimetières communaux, mais ceux-ci ne s’en contentent plus et veulent carrément des cimetières réservés uniquement aux musulmans, cela est notamment le cas en Haute-Vienne où un projet de cimetière musulman est en cours.
Les musulmans qui souhaitent l’implantation de cimetières islamiques justifient leur choix en expliquant ne pas vouloir être enterrés aux côtés de chrétiens ou de juifs !
Même si le virus islamique se propage rapidement en France, il va bien falloir que certains musulmans comprennent que notre pays n’a pas vocation à devenir une terre d’islam.
Dix bonnes raisons de voter FN aux élections européennes
Les élections européennes c’est dans quelques semaines, si ces élections risquent d’être boudées par les électeurs, il n’en demeure pas moins que celles-ci sont importantes pour l’avenir de notre pays. Les élections européennes sont peut-être même plus importantes que les élections législatives et présidentielles dans la mesure où les lois communautaires ont plus d’importance (hélas !) que les lois nationales. Il y aura plusieurs listes dans chaque grande région, il convient donc de faire un choix clair pour le 7 juin prochain. Pour moi c’est clair et net, seules les listes du FN sont valables. Le 7 juin prochain il faut sans hésiter glisser un bulletin FN dans l’urne. Si vous n’êtes pas encore convaincu, voici dix bonnes raisons de voter FN le 7 juin :
- Le FN est clairement contre l’Euro-mondialisme. Depuis toujours, le FN dénonce le pouvoir supranational de Bruxelles, un pouvoir qui concrètement n’est qu’une simple courroie de transmission du mondialisme. Dans ces temps de crise, seul la sphère nationale permet de ne pas être contaminée par le virus mondialiste, et pour cela, seul le FN propose de réinstaurer le cadre national.
- Le FN est le seul parti à s’opposer réellement à la Turquie. La question de l’adhésion turque anime le débat ces dernières semaines et c’est tant mieux. Le problème, c’est que la plupart des soi-disant opposants à l’entrée de la Turquie dans l’UE sont des menteurs. Nicolas Sarkozy et l’UMP par exemple, ont le culot de se déclarer hostiles à l’entrée de la Turquie dans l’UE, hors c’est ce même Sarkozy (soutenu par l’UMP) qui a ouvert huit chapitres de négociations avec la Turquie lorsqu’il occupait les fonctions de président de l’UE. Autre soi-disant opposant à l’entrée de la Turquie dans l’UE : Philippe de Villiers ; un Philippe de Villiers qui fait campagne sous la bannière Libertas, mouvement dirigé par Declan Ganley qui est connu pour être un partisan de…l’entrée de la Turquie dans l’UE. Au final, seul le FN est clairement contre l’entrée de la Turquie dans l’UE.
- Le FN est le seul parti anti-système. On ne peut pas dénoncer à chaque fois le système en place et en faire partie dans le même temps. De nombreux mouvements politiques aiment bien pousser une gueulante de temps en temps contre le système mais dans le même temps en font partie. Le FN, ne serait-ce que par les prises de positions « musclées » de Jean-Marie Le Pen prouve qu’il est le seul parti politique qui n’appartient pas au système UMPS.
- Le FN seule formation politique de droite nationale. Lors de ces élections européennes, certaines listes vont essayer de récupérer quelques déçus du sarkozysme en se faisant passer pour des mouvements de « droite nationale ». Le problème, c’est que la plupart de ces mouvements sont soutenus de près ou de loin par l’UMP comme par exemple les listes de Dupont-Aignan ou bien encore celles de Villiers. Enfin, la liste de Carl Lang dans la grande circonscription Nord-Ouest est soutenue par le sarkozyste François Dubout.
- Le FN seul parti qui lutte contre l’islamisation de notre civilisation. Si l’on a pu reprocher (légitimement) au FN de ne pas avoir fait campagne sur la question de l’islamisation en 2007, ces derniers temps le FN a été le seul parti politique français à lutter concrètement et efficacement contre l’islamisation de la France. Par exemple, en Ile-de-France, le frontiste Julien Sanchez a été en première ligne pour s’opposer à la construction d’une école islamique à Chelles.
- Le FN seul parti défenseur de l’identité chrétienne de notre civilisation. On ne peut pas parler d’identité française ou européenne sans faire référence au christianisme, le christianisme c’est une croyance mais aussi le ciment de notre civilisation. Le FN a été en première ligne pour la défense des valeurs chrétiennes de notre civilisation, cela fut notamment le cas avec l’hommage rendu par le frontiste Louis Aliot à Saint Fris (Saint Fris qui a combattu aux côtés de Charles Martel pour lutter contre la peste islamique qui commençait à ravager le Sud-Ouest de notre pays).
- Le FN seul et unique opposant à l’immigration extra-européenne. Si il y a bien un sujet qui est ignoré par les politiciens pendant cette campagne électorale des européennes, c’est bien celui de l’immigration. Pourtant l’immigration est loin d’être un sujet de seconde zone dans la mesure où celle-ci explose sur notre continent. Le FN a été le seul parti politique pendant cette campagne électorale à placarder des affiches concernant le sujet de l’immigration (L’immigration coûte 60 milliards d’euros par an).
- Voter FN c’est voter utile. Voter FN c’est voter utile dans la mesure où ce parti est le seul (sur le créneau « souverainiste » en tout cas) qui a le plus de chances d’avoir des élus au parlement européen. Plus le FN aura de députés européens, plus celui-ci aura de chances de jouer un rôle majeur dans la constitution d’un groupe nationaliste au Parlement européen.
- Seul le vote FN est un vote réellement anti-Sarkozy. Ce scrutin des européennes sera pour certains l’occasion de sanctionner le pouvoir sarkozyste. Hors, la principale bête noire de Nicolas Sarkozy c’est justement le FN. Bien que le FN ne fasse plus les mêmes scores électoraux qu’il y a 5 ans, il n’en demeure pas moins que c’est le seul parti détesté par Sarkozy au point que ce dernier fait tout son possible pour mettre des bâtons dans les roues du parti frontiste. Si jamais le FN obtient un bon score le 7 juin prochain, c’est l’assurance de voir Nicolas Sarkozy tirer une tronche comme pas possible devant les caméras de télévision.
- Voter FN c’est voter pour la liberté sur Internet. Internet est un espace de libertés et se doit de le demeurer, hors avec des lois comme Hadopi, les libertés de l’internaute sont menacées. Déjà favorable à la licence globale en 2007, le FN est à nouveau en première ligne pour s’opposer à la loi Hadopi et j’en veux pour preuve la dernière intervention médiatique sur le sujet de Marine Le Pen.
Le 7 juin prochain vous savez donc ce qu’il vous reste à faire….voter FN !
Depuis de nombreuses années, on sait que la France s’islamise du fait d’une importante immigration extra-européenne. Hors, dans le cadre des relations diplomatiques franco-américaines, l’islamisation de la France pourrait prendre une nouvelle forme dans la mesure où notre pays pourrait devenir l’annexe du camp de Guantanamo.
Ainsi, la France vient d’accueillir sur son sol Lakhdar Boumediene, un algérien qui était jusque là détenu dans le camp américain de Guantanamo. Cet algérien n’est pas Français, il n’a aucun lien avec notre pays et pourtant il est accueilli à bras ouverts par notre gouvernement, un gouvernement qui en plus de l’accueillir, va lui fournir un logement (dans lequel il vivra avec sa famille arrivée tout droit d’Algérie), le soigner (il est actuellement hospitalisé à Clamart) et peut-être lui trouver un travail ; bien sûr tout cela avec l’argent du contribuable français.
On peut malheureusement parier que Boumediene ne sera pas le seul et unique ancien détenu de Guantanamo à venir en France puisque ce type de situation a hélas de fortes chances de se reproduire à nouveau dans les temps à venir.
Il y a de cela encore quelques années, le système présentait le cosmopolitisme comme l’avenir de la société ; blacks, blancs et beurs étant amenés à vivre en parfaite symbiose et à se mélanger les uns aux autres. Ce type de discours, qui faisait encore fureur il y a une dizaine d’années, semble aujourd’hui totalement périmé avec la hausse des revendications communautaires.
Samedi dernier, lors d’une conférence de presse, le Premier ministre italien Silvio Berlusconi s’est prononcé contre la société multiethnique. C’est la première fois qu’un chef d’Etat européen ose faire ce genre de déclaration. Ainsi, la défense de la société multiethnique ne constitue désormais plus une obligation morale pour chaque citoyen.
Si le modèle multiethnique s’effondre, c’est tout simplement parce que certaines catégories de la population ne souhaitent pas s’intégrer (et encore moins s’assimiler) au sein de la société. Contrairement à ce qu’essayent de faire croire quelques gauchistes immigrationnistes, le repli identitaire n’est pas provoqué par les européens de souche mais bel et bien par les allogènes. Les allogènes (ou extra-européen si vous préférez) défendent bec et ongles leur identité ethnique et/ou religieuse en réaction à l’identité européenne blanche et chrétienne. Par exemple, en ce qui concerne l’identité ethnique, de nombreux afro-antillais se définissent avant tout comme « blacks » ou « renois » plutôt que comme Français. Idem pour de nombreux afro-maghrébins qui préfèrent mettre en avant leur appartenance à la religion musulmane plutôt que leur citoyenneté française.
Ces replis identitaires chez les extra-européens ont au moins un mérite : ils détruisent le mythe d’une société cosmopolite dans laquelle il ferait bon vivre. Ce qui a été fait aux Brésil comme aux Etats-Unis ne peut pas se transposer au contient européen.
Claude Guéant (alias la « Voix de son maître »), secrétaire général de l’Elysée, a dérapé ce week-end en émettant l’hypothèse d’interdire les listes de Dieudonné aux élections européennes. En souhaitant interdire les listes de Dieudonné, Guéant apporte une preuve éclatante de la soumission totale du système politique français à certaines associations communautaristes…
Pour justifier l’interdiction des listes de Dieudonné, Claude Guéant évoque le motif « antisémite ». Ainsi, pour le secrétaire général de l’Elysée, Dieudonné serait un « antisémite » au même titre que ses camarades de combat.
Le problème, c’est que Dieudonné n’est pas antisémite et que la plupart de ses prises de positions ne peuvent pas être qualifiées d’antisémites. Il est vrai qu’il arrive parfois à l’humoriste de se moquer des juifs, mais il le fait également concernant les chrétiens et les musulmans. Enfin, Dieudonné combat le sionisme et je ne vois pas en quoi cela pourrait être assimilé à de l’antisémitisme.
L’antisionisme est une opinion politique comme un autre et cette opinion peut avoir sa place dans le cadre d’un combat électoral (même si il est vrai que cela n’a pas un grand rapport avec la question européenne).
